Les automatismes au service des données faunistiques
SiRF repose sur une série d’automatismes pour garantir la gestion efficace des données faunistiques. Lors de la saisie d’une espèce, son niveau de sensibilité est pris en compte pour dégrader la précision de la localisation à l’échelle de la commune, de la maille de 5 km, de 10 km ou au niveau départemental.
J’enregistre une buse variable via la saisie éclair. Automatiquement, cette observation apparaît dans
les observations des 30 derniers jours. Non pas au point mais dans une maille d’un périmètre de 10km .
Chaque donnée entre ensuite dans un panier de validation. Un groupe d’experts, organisé par groupes faunistiques, est chargé de vérifier les informations en fonction des critères du Système d’Information sur la Nature et les Paysages (SINP). Cet ensemble d’experts valide les observations selon des protocoles précis, garantissant la qualité des informations partagées.
Voici un exemple de l’application de validation. Ici, le validateur a lancé une recherche des reptiles de la famille des Anguidae qui ont un statut de validation non évalué afin de leur appliquer un statut de validation.
Parmi les autres automatismes, le calcul des statuts de reproduction des espèces est un exemple clé. Il est généré automatiquement selon les informations fournies par l’utilisateur.
De plus, SiRF applique de nombreux pré-traitements pour répondre aux contraintes des volumes de données, notamment dans le cadre des exports ou certaines applications comme la visualisation à l’espèce ou encore la consultation à la commune. Ces processus permettent de fournir des résultats fiables, précis et adaptés aux différents utilisateurs, des naturalistes amateurs aux experts.
Ces automatismes font de SiRF un outil puissant, garantissant non seulement l’exactitude des données mais aussi leur accessibilité à différents niveaux de détail, tout en protégeant les espèces sensibles.